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21 janvier 2014 2 21 /01 /janvier /2014 11:06

La France s’enfonce de plus en plus dans la décadence et la dé-Louis-XVI.jpgchéance… Le dernier choc de simplification que notre histoire est connu n’est autre que la mise à bas de la monarchie. Etait-ce une bonne chose ? A-t-elle permis un développement de la France ? Non ! Notre économie a alors pris 50 de retard par rapport à nos voisins, et concurrent, anglais. La simplification est-elle la solution pour reprendre le fil national ?  C’est la sécurité juridique qu’il faut retrouver, que le temps politique rejoigne, voir dépasse, le temps de l’entreprise. Ce qui peut assurer cette sécurité est un pouvoir monarchique, fiable et stable, ayant la haute main sur les affaires législatives du pays !  Le monarque, va gérer son pays comme un chef d’entreprise, voulant que son successeur est un pays en meilleur état que lui-même ne l’a trouvé, à contrario les politiques qui ne sont que dans le paraître…


C’est pour cela qu’en ce 21 janvier, nous avons une pensé pour Louis XVI le Bon, assassiné par les révolutionnaires. N’oublions pas que lors de son accession au trône un  grand espoir était né ; il a alors 20 ans et forme, avec son épouse, le couple idéal. Intelligent et cultivé –féru d’histoire et de géographie notamment-, Louis XVI n’a qu’un désir : faire le bien de son peuple, procéder aux réformes nécessaires… Malheureusement dès son accession au trône, il  rappela, un Parlement plus désireux de s’opposer que de servir ; le souverain était d’un caractère paisible, plutôt timide ; un caractère manquant de la nécessaire autorité pour brider le Parlement et faire passer ses idées de réformes.  De plus, l’image réductrice véhiculée par les histrions républicains du XIXe siècle, faisant de ce bon roi, un benêt, passionné d’horlogerie est particulièrement fausse. En effet, ils oublient qu’il était de tradition chez les Bourbons d’apprendre un métier manuel : l’horlogerie pour Louis XVI et Louis XIV, la menuiserie pour Louis XV.


De plus, avec ses ministres, Turgot, Malesherbes, Vergenne, Necker, Calonne, Loménie de Brienne, il va prendre des mesures en faveur des libertés économiques, de l’égalité fiscale ; tenter de promouvoir la liberté de conscience ; supprimer les lettres de cachets et la torture, abolir l’esclavage… Autant de mesures qui soulèveront l’opposition nobiliaire, qui se heurteront au Parlement. Saint-Germain, son ministre de la Guerre, réorganisera l’armée, ouvrant le corps des officiers aux roturiers, alors que le roi se passionnait pour les expéditions de La Pérouse.

 

Louis XVI n’était pas ce tyran présenté par la République, mais un Roi qui était plus que nombre de politicien actuel, à l’écoute de son peuple. C’est pour cela que nous nous commémorons la mort du Roi ! A la santé de Louis XVI ! 

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11 novembre 2011 5 11 /11 /novembre /2011 15:28

 « - Je répète les mots : profonde estime, répondit Aglaé avec le même sérieux qu’auparavant, — parce que dans ces vers est représenté un homme capable d’avoir un idéal et de lui consacrer toute sa vie. Cela ne se rencontre pas si souvent à notre époque. Cette poésie ne nous dit pas en quoi consistait proprement l’idéal du « chevalier pauvre », mais on voit que c’était une image radieuse, « l’image d’une beauté pure », et que l’amoureux chevalier portait même, au lieu d’écharpe, un chapelet autour de son cou. À la vérité, il y a encore, là une devise obscure, énigmatique, les lettres A. N. B. qu’il avait tracées sur son écu…

 

- A. N. D., rectifia Kolia.

 

- Moi je dis A. N. B., et je veux dire ainsi, répliqua avec colère Aglaé, — en tout cas, une chose est claire, c’est que, quelle que fût sa dame, quoi qu’elle fit, peu importait à ce pauvre chevalier. Il l’avait choisie, il avait cru à sa « beauté pure », cela suffisait pour que désormais il ne cessât de s’incliner devant elle ; s’étant une fois déclaré son serviteur, il devait, fût-elle ensuite devenue une voleuse, croire en elle et rompre des lances pour sa beauté pure. Le poëte a voulu, semble-t-il, incarner dans un type extraordinaire la notion de l’amour platonique, telle que la concevaient les chevaliers du moyen-âge. Naturellement, tout cela est un idéal. Dans le « chevalier pauvre », ce sentiment est arrivé au plus haut degré, à l’ascétisme ; il faut avouer que la faculté d’aimer ainsi prouve beaucoup en faveur de celui qui la possède ; c’est un trait de caractère qui dénote une âme profonde, et, en un sens, est très louable. Le « chevalier pauvre », c’est Don Quichotte, mais un Don Quichotte sérieux et non comique. D’abord, je ne comprenais pas ce personnage et j’en faisais des gorges chaudes, mais maintenant j’aime le « chevalier pauvre », et, surtout, je respecte ses hauts faits. »1

 

 

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/58/Dostoevskij_1872.jpg/250px-Dostoevskij_1872.jpgVoici des lignes éternelles qui reflètent bien la pensé d'un des plus grands écrivains russe, un des plus grands romanciers de l'âme slave, qui a donné de grandes lettres de noblesse à la littérature russe. Il s'agit bien évidemment de Fédor Dostoïevski, qui naquit il y a 190 ans aujourd'hui à Saint Pétersbourg, dans une famille issue de la noblesse polonaise.

Rendons hommage en ce jour, avec tous les Pétersbourgeois, à ce grand homme, qui connu un passage par les cercles fouriéristes, mais qui tout au long de son oeuvre montre bien que la plongé trop rapide de la Russie dans une société démocratique engendre des clivages et des conflits beaucoup plus violent qu'ils ne l'étaient par le passé. En effet, une grande part d'angoisse pris pied dans la société du fait de  la nouvelle importance du libre-arbitre et également de l'égalitarisation devant le droit mais n'abolissant pas les privilèges de naissance, d'où de fortes désillusions.

De plus, il « a deviné les tendances de la vie sociale des gens et a su prévoir des cataclysmes dont fut riche l'histoire du XXesiècle », a indiqué la directrice du musée littéraire Dostoïevski de Saint Petersbourg, Natalia Achimbaïeva.2

C'est au grand romancier, au mystique, qui s'interrogeait sur l'existence de Dieu que nous voulons rendre hommage, mais laissons au grand maître le soin de conclure en nous faisons une leçon :

 

 

« - Mais alors, que deviendra l'homme, sans Dieu et sans immortalité ? Tout est permis, par conséquent, tout est licite ? »3

 

 

__________________

1 L'Idiot,Chapitre VIII

3 Les Frères Karamazov, Chapitre XI,IV: L'hymne et le secret.

 

 

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17 mai 2011 2 17 /05 /mai /2011 19:25

3871bd64012152bfb53fdf04b401193f.jpgTrente ans après son élection, le vrai bilan de Mitterrand :

Il y a tout juste trente ans, le dimanche 10 mai 1981, François Mitterrand était élu à l'Elysée après deux échecs en 1965 et en 1974. La gauche pour la première fois sous la Ve République revenait au pouvoir. Lyrique, Jack Lang indiquait alors que la France était passée par ce vote des ténèbres à la lumière. François Mitterrand, malgré son bilan calamiteux dans quasiment tous les domaines, qui fut le seul de tous les présidents de la République à accomplir deux septennats complets, jouit encore d'une popularité importante.

 

Ainsi que l'écrit le quotidien Metro, « la Tonton mania fait recette ». On ne compte plus les livres, les colloques, les émissions de télévision, les numéros hors-série de revues consacrés à la célébration des trente ans de l'accession à la magistrature suprême de l'homme de Jarnac. Le Parti socialiste en fait lui-même des tonnes : il met en vente une planche de timbres homologuée par La Poste et des tee-shirts à son effigie. Technique oblige, une application I-phone gratuite a même été créée rue de Solferino. Elle permet de réécouter des phrases célèbres de François Mitterrand ou carrément de se prendre en photo avec lui. Le 10 mai le PS a organisé une journée portes ouvertes de 11 heures à 20 heures 30 à son siège national.

 

On pouvait y entendre des témoignages sur un écran de télévision, voir une exposition de photos, la journée étant conclue par un discours de la première secrétaire Martine Aubry qui s'est naturellement revendiquée de ce parrainage à l'instar de tous les postulants socialistes déclarés ou putatifs. A la traîne dans les enquêtes d'opinion, Ségolène Royal a été la première, le 8 mai, devant les militants de son club Désirs d'avenir, à célébrer la mémoire du seul président socialiste de la Ve République. Quant à son ex-concubin François Hollande, il s'est rendu le 10 à Château-Chinon, fief du défunt président. Les lieutenants de Dominique Strauss-Kahn se réclament également de l'héritage de Mitterrand. Même le très gauchiste Jean-Luc Mélenchon se place ouvertement dans la lignée du fondateur du parti dʼEpinay. « Ce que je retiens de François Mitterrand, c'est avant tout l'esprit de conquête, le long parcours de la gauche avec lui pour accéder au pouvoir. Sa ténacité, son obstination dans le combat, après tant d'échecs, sa capacité à réussir le rassemblement de la gauche. »

 

Des propos qui devraient faire réfléchir les communistes qui s'apprêtent à soutenir officiellement sa candidature à la présidentielle de 2012. Car Mitterrand a œuvré très efficacement à l'effondrement du PC, en ayant notamment l'habileté de nommer quatre ministres communistes au gouvernement en 1981 ce qui rendait “Fabien” corresponsable de la politique menée. Cet engouement des socialistes pour leur ancien homme fort s'explique par leur incapacité à placer l'un des leurs à l'Elysée (ils ont échoué trois fois de suite à la présidentielle, en 1995, en 2002 et en 2007) et par leur souci de plaire aux Français qui, à en croire les sondages, conservent majoritairement un bon souvenir de l'ex-chef de l'État. Si Mitterrand est aujourd'hui populaire, ce qui fut loin d'être toujours le cas lorsqu'il était aux responsabilités, c'est que ses successeurs sont bien plus médiocres encore que lui, nettement plus indignes de la fonction comme le prouve notamment le côté bling-bling de Sarkozy et la façon détestable dont il met en scène sa vie privée pour le moins tumultueuse.

 

Sans même parler de DSK roulant en Rolls à Paris et affichant sans vergogne son train de vie de milliardaire. La dégénérescence intellectuelle et mentale de nos dirigeants ne cessant de s'accélérer, il est somme toute logique que beaucoup de nos compatriotes aient une certaine nostalgie pour un passé qui n'est finalement pas si lointain. Inutile pourtant de compter sur nous pour participer à cette floraison de dithyrambes sur la personne et l'action de Mitterrand. Car il n'est pas de domaines où, tout au long de son interminable présidence, la situation ne se soit considérablement dégradée.

Le président socialiste avait promis que, lui à l'Elysée, il n'y aurait jamais deux millions de chômeurs en France. Ils étaient 1,8 million à la veille de son accession à la magistrature suprême, ils seront officiellement près de trois millions (bien plus en réalité) quatorze ans plus tard. Le développement du quart monde, l'apparition des Restos du coeur, puis du RMI, les nouveaux pauvres, c'est la génération Mitterrand. Et à côté de cette misère que l'on ne peut plus cacher triomphe impunément sous son règne l'argent-roi. Ses deux septennats sont ceux des scandales en tous genres, plus nauséabonds les uns que les autres : affaires du Carrefour du développement, des Irlandais de Vincennes, du Rainbow Warrior, affaires Luchaire, Péchiney, Urba-Gracco.


A l'instar de Chirac, Mitterrand ne doit son accession à la présidence de la République qu'à de l'argent sale, à des fonds occultes. Il avait d'ailleurs un jour établi à la télévision un subtil distinguo entre voler pour son parti, ce qui selon lui était absolutoire, et voler à des fins d'enrichissement personnel — comme si le fait d'être élu à des postes prestigieux et rémunérateurs ne contribuait pas à une forte hausse du train de vie ! Il est certain que dans la généralisation de la corruption morale, dans l'affaissement de l'esprit civique, dans l'érosion du sens du devoir et de l'esprit de responsabilité, dans le triomphe du cynisme, les années Mitterrand sont pour beaucoup. Que l'on songe à l'ahurissant aveu de Georgina Dufoix, pourtant directement mêlée à l'abominable scandale du sang contaminé : « Je me sens responsable mais pas coupable ».


L'homme est également entouré de morts suspectes, celles de son conseiller François de Grossouvre retrouvé suicidé à l'Elysée, de son Premier ministre Pierre Bérégovoy. De même ne saura-t-on jamais pour qui son ami Roger-Patrice Pelat, providentiellement disparu, s'était livré à un délit d'initiés. La mobilisation de services entiers de lʼEtat, l'activation permanente de la cellule élyséenne avec le fameux système des écoutes pour loger, nourrir et surtout protéger des regards indiscrets sa maîtresse Anne Pingeot et sa fille adultérine Mazarine sont dignes des moeurs dʼune République bananière. Alors que Mitterrand prétendait aimer charnellement la France à la différence de De Gaulle qui sʼen faisait une idée confondue avec sa personne, c'est sous sa magistrature suprême que la décadence morale, dont il nʼest certes pas le seul responsable, a atteint des profondeurs inouïes. Il livre pieds et poings liés les honnêtes gens à la pègre avec lʼabolition de la peine de mort (octobre 1981).

 

La vulgarité à la radio et à la télévision, encore renforcée par la création des radios libres, la privatisation de TF1, l'apparition de chaînes privées comme Canal+, est consécutive à l'arrivée des socialistes au pouvoir. Tout comme la massification de la pornographie, la prolétarisation du vice, le remboursement de l'avortement par la Sécurité sociale dès 1982. Et que dire de la promotion d'un Jack Lang, inamovible ministre de la Culture, inventeur en 1982 de la Gay Pride, symbole du strass, du fric, du sexe et des paillettes, choix d'une démagogie outrancière de la part de l'amateur de vieux livres que fut toute sa vie Mitterrand ? De sa sympathie jamais démentie pour un histrion affairiste comme Bernard Tapie dont il fera même un éphémère ministre de la République ?

L'un des aspects certainement les plus détestables de son héritage, c'est l'invasion migratoire qui s'accéléra sous sa présidence et qu'il favorisa de mille et une manières. En supprimant la préférence nationale dès 1981. En 1981, « La force tranquille », le montrait avec en arrière-plan la campagne bourguignonne et une église villageoise, c'est précisément cette France des terroirs et des clochers, cette France rurale, chrétienne et enracinée qu'il s'acharna à faire disparaître au profit des minarets et du turbocapitalisme. Le visage biologique de la France changea en effet fortement en quatorze ans de Mitterrandie. Par ailleurs, sous son long règne, le nombre des paysans fonds. Une ferme disparaît toutes les quinze minutes. Des régions entières se dévitalisent et se désertifient tandis qu'une immigration du Tiers-Monde sans tri qualitatif ni seuil quantitatif se déverse aux six coins de notre pays. A peine élu, il est confronté au problème des banlieues allogènes avec le soulèvement des Minguettes en 1981, puis ce sera Vaulx-en-Velin en octobre 1990. C'est à lui que l'on doit la création de la politique dite de la Ville qui engloutit des sommes considérables dans un puits sans fond.

 

C'est sous ses deux mandats que la dette et les déficits publics explosent, que les prélèvements obligatoires atteignent des records tandis que, munificent, le Sphinx annule la dette des pays africains où, en voulant par idéologie imposer de force la démocratie à l'occidentale, il a des responsabilités évidentes dans les massacres tribaux à grande échelle, au Rwanda notamment. régularisant tous les immigrés clandestins l'année suivante. En instaurant en 1984 la carte de séjour de dix ans automatiquement renouvelable. En favorisant les naturalisations massives. En évoquant à répétition dans ses discours et dans ses propositions l'octroi du droit de vote pour les étrangers. En parrainant et en soutenant SOS-Racisme pour de basses raisons politiciennes (diviser la droite), culpabilisant ainsi les Français, minant leurs défenses immunitaires, les divisant (son slogan de campagne en 1988 nétait-il pourtant pas « la France unie » ?) à une époque où il était encore possible de juguler l'immigration extraeuropéenne sans drames excessifs. Alors que son affiche électorale en mai 1981, « La force tranquille », le montrait avec en arrière-plan la campagne bourguignonne et une église villageoise, c'est précisément cette France des terroirs et des clochers, cette France rurale, chrétienne et enracinée qu'il s'acharna à faire disparaître au profit des minarets et du turbocapitalisme. Le visage biologique de la France changea en effet fortement en quatorze ans de Mitterrandie. Par ailleurs, sous son long règne, le nombre des paysans fonds. Une ferme disparaît toutes les quinze minutes. Des régions entières se dévitalisent et se désertifient tandis qu'une immigration du Tiers-Monde sans tri qualitatif ni seuil quantitatif se déverse aux six coins de notre pays. A peine élu, il est confronté au problème des banlieues allogènes avec le soulèvement des Minguettes en 1981, puis ce sera Vaulx-en-Velin en octobre 1990. C'est à lui que l'on doit la création de la politique dite de la Ville qui engloutit des sommes considérables dans un puits sans fond. C'est sous ses deux mandats que la dette et les déficits publics explosent, que les prélèvements obligatoires atteignent des records tandis que, munificent, le Sphinx annule la dette des pays africains où, en voulant par idéologie imposer de force la démocratie à lʼoccidentale, il a des responsabilités évidentes dans les massacres tribaux à grande échelle, au Rwanda notamment.

Mitterrand aimait à répéter que, sous sa présidence, jamais la liberté de la presse n'avait été aussi grande. S'il est vrai qu'il n'a jamais poursuivi une publication qui disait du mal de lui, on sait comment il persécuta le journaliste Jean-Edern Hallier, et surtout c'est à lui— qui voulait peut-être se faire pardonner ses liens privilégiés avec l'ancien collaborateur Bousquet — quʼon doit l'adoption de la scélérate loi Fabius- Rocard-Gayssot. De même, cʼest sous son règne — quʼil avait inauguré en se rendant sur la tombe de son intime Georges Dayan, clin d'oeil remarqué à la Communauté qui l'avait fait élire — que fut adoptée la loi dʼexception Neiertz créant un délit d'entrave à lʼIVG et qui conduisit le docteur Dor en prison ! C'est encore sous sa présidence que la liberté de circulation, d'affichage, de réunion, de manifestation, d'expression, encore très étendue sous Giscard, se réduisit comme peau de chagrin. Que l'on pense notamment au fameux harcèlement démocratique institué à partir de 1990 par Jean-Christophe Cambadélis et à la promotion de mouvements subversifs et liberticides comme Ras lʼFront.

La suite dans le numéro 2999 de Rivarol...

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9 août 2009 7 09 /08 /août /2009 21:47
Le Japon, lors de la Seconde Guerre Mondiale, après avoir envahi une grande partie de la Chine avait envoyé une partie de la popualtion dans des camps de travail réparti dans l'archipel nippon. Au prorata de la population chinoise, ces personnes faisaient parti d'une infame minorité, mais le régime chinois doit pleurer ses morts pour tenir bon sa population en gardant fort le sentiment nationaliste, pour montrer que seul le "communisme" a su les garder contre les dangers de la guerre. En effet, plus de 38 000 personnes ont été déportés dans 135 camps de travail ayant engendré près de 6 830 morts. Pour leur rendre hommage, une cérémonie a eu lieu pour commémorer le 60ème anniversaire de la découverte des des restes des travailleurs chinois. Pour la première fois, les autorités chinoises et japonaises ont fait une cérémonie commune à Tokyo, où fut réuni près de 300 personnes, pour montrer la collaboration étroite qu'il y a entre le Japon et la Chine ainsi que de tisser des liens d'amitiés pour les générations futures, nous apprend l'ambassadeur de Chine à Tokyo.
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6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 09:36
Voilà 64 ans, que La Bombe est tombé sur Hiroshima, la première, faisant d'innombrables victimes, ravageant totalement une ville.  Le champignon s'élevait dans les cieux, comme une offense à un dieu juste et miséricordieux, mais aussi paradoxal que cela puisse paraître, il sauvait des vies... En effet, si les îles nippones avait dû être envahie par les américains, ces derniers évaluaient leurs pertes à plus de un millions de mort...  C'est une arme terrible qui fut utilisé en ce sombre jour de l'histoire humaine, donnant ainsi pour la première fois à l'Homme, la possibilité de s'auto-annihiler... Comme aurait dit Sartre, "l'Homme est Dieu". Oui, il est devenu dieu, depuis ce jour ; un dieu de mort et de destruction car il ne sait pas donner la vie par d'autres moyens que ceux dont la nature l'a doté. 64 que nous sommes entrées dans l'ère atomique, avec ses angoisses, différentes selon les périodes, la peur d'une guerre des blocs, la peur du terrorisme... Mais tout débuta ce jour du 6 août 1945, où La Bombe chût du B-29 Enola Gay et après 43 secondes de chute libre, Little Boy explosa, transformant le monde à jamais...
L'actuel maire d'Hiroshima, au moment de la cérémonie d'hommage, a appelé à vivre dans un monde sans bombe nucléaire dès 2020...  Quelle Etat possédant l'Arme Suprême la déposera, il est facile de le dire, mais faut-il encore le faire ?
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